Une nouvelle proposition de l’Orchestre arabo-andalou de l’Anjou, toujours en recherche d’inspiration, auprès cette fois de trois des grandes voix féminines du Maghreb d’aujourd’hui.
Aïcha Lebgaâ la Saharienne, la jeune et prodigieuse Tunisienne Bouthaïna Nabouli, l’Algéroise Samira Brahmia : trois voix, trois femmes, trois artistes convergent vers le jeune Orchestre arabo-andalou de l’Anjou qu’a fondé, il y a cinq ans, le musicien palestinien Ramzi Aburedwan. Et la rencontre s’annonce riche avec ces « divas » devenues reines dans des genres divers, du diwane au pop rock chaâbi, en passant par le maalouf et le mezoued tunisiens.