Le chaleureux répertoire belcantiste rencontre l’atmosphère poétique et rêveuse du romantisme allemand.
Leurs carrières sont strictement parallèles et tout aussi courtes, couvrant leurs seules années de jeunesse, les décennies 1810 et 1820. Tous deux ont fait entrer la musique dans l’âge romantique, Rossini avec le bel canto en Italie et à Paris, Schubert à Vienne dans le lied et la musique de chambre.
Marie-Bénédicte Souquet, le harpiste Sylvain Blassel et le Quatuor Liger tissent les liens secrets entre les faces souriantes de ces deux univers.
SCHUBERT
La Belle Meunière, Heidenröslein, Gretchen am Spinnrade, Sérénade D.957, Rosamunde, Entracte
Quintette en la majeur « La Truite »
ROSSINI
Ouverture de Il Signor Bruschino
Airs d’opéras de jeunesse et extraits des Péchés de ma vieillesse